Stalag IID - kommando 571 - René BEILLAS

Bonjour,
voici ce que j'ai sur mon grand-père René BEILLAS.
Arrêté à Malo les Bains le 4 juin 1940.
Stalag IID kommando 571 qui travaillait à Greifenberg et logeait dans la Synagogue de Greifenberg (aujourd'hui Gryfice).
Retour par le centre de Maubeuge (le 12 juin 45) puis gare de Pierrelatte (Drôme) le 13 juin 45. Au dos d'une photo, des noms de ville qui m'ont permis de faire une carte de retour de captivité.
Des noms de PG qui sont devenus des amis : MOURAILLE, MAZUEL et POUJADE.

Documents captivité
Son laissez-passer :
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Sa plaque matricule :

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Photos captivité

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1939 - Photo de son régiment 7e génie

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Malo les Bains 1940, sans doute le 4 juin 1940...

Cette photo devrait aussi aller dans un autre sujet. Si vous savez où je peux aussi la mettre, je le ferai !


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Fabuleuse transmission que vous détenez.. je ne reconnais pas mon papa parmi ces belles photos souvenirs.. merci infiniment Geneviève pour ce partage qui fait qu'on ne les oublie pas. Cordialement Francis

Bonjour Geneviève,
merci pour ce partage  
Des documents et photos très intéressantes.
La plaque de Stalag est très intéressante aussi, le n° du stalag n'étant pas inscrite à la suite de Stalag.
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cdlt

Bonjour,
En effet et je ne sais pas pourquoi.
Mais le n° de matricule correspond bien à celui de mon grand-père sur son laissez-passer.
Et en plus, elle n'est pas gravée du bon côté ! L'autre côté est vierge avec seulement Nr. et les lignes vides.

Bonjour

Il faut savoir que l'on peut trouver ces plaques de Stalag sous ces formats, mais aussi sur des plaques de bois, des plaques d'identité allemandes, et même des bouts de carton (provisoire), cela était dû à l’afflux important de prisonniers, et le fait qu'il n'y avait pas assez de plaques disponibles... certaines présentent juste le n° matricule, sans aucune mention du Stalag.
Ces plaques sont sécables, en cas de décès, la partie supérieure reste sur le corps, la seconde est transmise pour le service administratif.

Mon grand père est passé du Stalag IIIB au IIIA en conservant sa plaque matricule.

La règle était que les prisonniers étaient enregistrés par leur matricule initial. Ils porteront toujours la même plaque même s'ils changent de Stalag. A voir si cela a été suivi...

cdlt