Le 15 août 1942, l'Allemagne pénêtre en zône non occupée jusque là. Elle ''chapaute'' alors ce qui est déjà la SNCF.
A Ambérieu-en-Bugey (01) existe un grand centre de triage pour le Sud-Est et un important atelier de réparation du matériel roulant. C'est un Autrichien, Karl von Berg, institeur ou professeur dans le civil qui devient le responsable. Il entretient des relations de ''confiance'' avec le contremaître français, jusqu'alors gestionnaire de parc roulant. Les anciens cheminots ne peuvent pas me dire s'il portait un uniforme de l'armée ou celui de la DeutchBahn.
En 1944, après un sabotage opéré sur les machines outils de l'atelier de réparation par la résistance locale, Von Berg s'oppose à l'exécution de 13 agents de cet atelier que veux faire fusiller un officier de l'armée allemande. Puis arrive la retraite en direction de l'Allemagne fin août 1944. Le contremaître français se propose d'héberger Von Berg le temps de cette retraite. Ce dernier qui craint des représailles sur les membres de sa famille part avec l'armée allemande. Il serai mort au cours de son voyage de retour aux environs de Vesoul.
Qui connaît le processus à suivre pour retracer l'histoire de cette homme dont on ne sait pas s'il était militaire ou spécialiste du Chemin de fer ?