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 Récit de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer face a la 1ère DIM et au 7 rtm

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110RI
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Récit de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer face a la 1ère DIM et au 7 rtm Empty
MessageSujet: Récit de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer face a la 1ère DIM et au 7 rtm   Récit de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer face a la 1ère DIM et au 7 rtm I_icon_minitimeSam 18 Fév 2017, 21:25

voici un témoignage de notre adversaire en 1940 .
un témoignage qui montre a quelle point nos braves soldat on sue faire face !!
bonne lecture !!!
Témoignage de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD
Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer
(Pz rgt 35, 4° PZ div)
SH/BA 1168

Nous enfonçons les positions de la Dyle.

         Il n’est que midi, le plans se précise, d’attaquer sans retard la position de la Dyle qui s’allonge devant nous, puissamment fortifiée, et de l’enfoncer. Le haut commandement pense qu’il y aura forcément ici de dur combats, car la position fortifiée doit couvrir la place forte de NAMUR et couvrir les positions de la capitale.si cette position est entre nos mains, ce sera un rude coup à l’ennemi et il en sera ébranlé jusqu’à la moelle. L’opération est donc payante et le régiment, 2° bataillon en tête, est engagé au nord de GEMBLOUX pour percer la position de la Dyle.

         Nous dépassons BAUDESET et EABENTOUT et arrivons sur la position. la 8ème compagnie à gauche en avant, la 5ème compagnie à droite, la 6ème derrières les deux autres, telle est la formation adoptée pour l’attaque. Mais un brutal tir d’artillerie accueille nos chars, lorsqu’ils arrivent sur la grande route. La 8ème compagnie, conduite par son chef héroïque l’oberleutnant BERGER, traverse la route et se fraie un chemin presque jusqu’au talus du chemin de fer. Mais ce talus est un obstacle infranchissable pour des chars. Ce n’est pas un talus, mais une tranchée très profonde et on ne peut la franchir qu’en quelques points de passage et ponts.

        Mais cet obstacle n’est pas le seul qui arrête l’élan de notre attaque. L’adversaire s’est retranché depuis des jours dans cette dépression, il s’est enterré et nous sommes accueillis par un tir de barrage dévastateur. Notre attaque est brisée sous le déluge de feu de cette défense et sous la grêle d’obus de l’artillerie française.

        Les chars allemands n’abandonnent pas si vite leurs plans. Pour soulager la 8ème compagnie très éprouvée, on demande d’abord un tir de harcèlement à la 6ème compagnie, puis cette dernière est jetée à l’extrémité de l’aile droite, afin qu’une attaque sur le flanc droit apporte une diversion à l’avant.

        Mais l’attaque en ce point ne peut progresser sans appui d’artillerie. Hélas, l’artillerie même motorisée ne peut suivre sur le terrain à la même vitesse que les chars.

        Le commandement de la brigade ordonne donc , le cœur lourd, de rassembler les deux régiment de chars de la division à droite et à gauche de BAUDESET et de les préparer pour une attaque l’âpres midi .

        Afin que l’ennemi ne s’aperçoive pas trop vite de ces mouvements, la 6ème compagnie se charge de les couvrir. De tous ses tubes, elle ouvre un tir violent contre les positions ennemies et en particulier contre le village d’ERNAGE. Ainsi le décrochage s’effectue dans de bonnes conditions.

        Cette première attaque nous a couté un certain nombre de chars, il y a des tuée et des blessé à déplorer , mais l’objectif –enfoncer la position de la DYLE – justifie ces sacrifices.

        A peine somme nous dans notre position de recueil, à peine nous apprêtons-nous à prendre quelques repos, afin de prendre des forces pour l’après-midi, que les français se mettent à nous harceler avec leur artillerie ; leur bombardement est tel qu’il rappelle la 1er guerre mondiale. Dès les premiers coups, le tir est bien ajusté.

        Deux obus tombent juste là où les E.M de la brigade et du régiment s’étaient réfugiés à l’ombre de quelques arbres pour prendre quelque repos, et c’est un miracle qu’il n’y ait pas eu plus de mal. Puis c’est le tour des chars. Les coups tombent sur notre position, au milieu de nos chars. Malheureusement plusieurs coups sont heureux et de nombreux blessés doivent être évacués. Mais ce bombardement cesse dès que notre artillerie peut intervenir dans le combat.

        Ainsi tout est mis en place pour l’attaque du soir, pourtant les préparatifs sont terminés si tard que l’attaque est remise au lendemain matin.

        La nuit est aussi troublée que la journée. Selon leur vielle habitude de la grande guerre de 1914, les français arrosent tout le secteur de leurs obus d’artillerie, tout le monde est en alerte et personne ne peut se reposer vraiment. Mais maintenant nous avons trouvé le moyen de nous prémunir contre de tels bruits. En quelques coups de pelle nous nous creusons des abris, avec les chars en guise de toit. Cela nous donne une protection remarquable de tous les côtés et toutes ces tires ne nous menacent plus guère.
       
        Le lendemain matin nous nous LANCON à l’attaque. L’artillerie tire à nouveau sur les positions ennemies, puis les stukas entrent dans les combats et lâchent leurs bombes sur l’ennemi ; puis quand la position a été ainsi sérieusement bombardée, nous montons à l’attaque, ayant à nos côtés l’infanterie qui se bat si vaillamment.

        Mais a nouveau l’enfer se déchaine le long de la voie ferrée. Pendant le tir d’artillerie et le bombardement aérien, les deux divisions marocaines qui sont en face de nous se sont tapies dans leurs trous, elles ont trouvé d’excellents couverts dans la tranchée et les revers abrupts et maintenant elles accueillent notre premier bataillon avec une grêle de projectile. La 4ème compagnie, en particulier, tombe dans un véritable volcan et perd des chars lourds. Le véhicule du lieutenant HAGEN reçoit plusieurs coups l’un après l’autre, lui-même abandonne son char blessé à mort pour faire un dernier compte rendu à son chef et il s’écroule mort, au bout de quelques pas, entre les véhicules.

        Dans ces moments de très durs combats, les chefs ont toujours été avec nous aux tous premiers rangs. L’Oberstleutnant  EBERBACH, qui depuis le premier jour de combat a toujours été avec les chars de tête de son régiment, reçoit un projectile d’artillerie sur son chars de commandement et il est blessé. Le commandant de la brigade, qui roulait au milieu du combat en avant de ses régiments, reçoit lui aussi des coups si violents qu’il est blessé et que tout l’équipage de son char de commandement doit être évacué.

        Le combat continue à faire rage.

        On arrive de nouveau au talus du chemin de fer, mais cette fois-ci encore la défense ennemie nous empêche d’aller plus loin.
        Nos chars sont donc immobilisés devant l’obstacle et le tir défensif est impitoyable ; il nous inflige des pertes sensibles.
        C’est dans de tels moments que se révèlent les vrais braves. Le véhicule du leutnant GEORGI se trouve lui aussi devant l’obstacle. Alors il descend avec l’équipage et au moyen de son pistolet et de grenades à main il anéantit en un tour de main un canon antichar ennemi.

        A côté de lui, le Hauptfeldwebel KAPISCHKE est descendu lui aussi, il se place à la tête d’un groupement de fantassins, entrainant ceux-ci par son exemple, s’élance contre l’adversaire avec le plus grand héroïsme, capture rapidement un certain nombre de prisonniers, et déjà on dirait que le charme est rompu et qu’une brèche a été creusé. Pour le passage, alors KAPISCHKE est atteint d’une balle mortelle et l’ennemi referme aussitôt le trou ouvert ; il est impossible de percer.

        Pendant ce dur combat du 1er Bataillon le long du talus du chemin de fer, le 2ème bataillon se tient derrière la route, prête à s’élancer à l’attaque. L’ennemi qui sait exactement quel est l’enjeu pour lui dans cette partie, déclenche, sur les arrières du 1er bataillon, un tir de barrage digne de la guerre de 1914 ; il rend par-là impossible tout intervention des autres régiments et oblige le 2ème bataillon à changer sans cesse de position.

        Il faut alors décider d’arrêter l’attaque encore une fois et de ramener les chars vers l’arrière. La décision est dure, mais elle est exécutée dans un calme parfait et avec une discipline exemplaire. Tous les chars sans exception sont retirés du champ de bataille. Ceux qui ne peuvent plus rouler sont pris en remorque. C’est un exemple magnifique de la camaraderie allemande qui se déroule là sous un tir défensif très violent, sous les balles des tireurs d’Élite marocains au tir extrêmement sûr. Car si l’on veut ramener son camarade dans un char endommagé, il faut quitter son propre char, poser le câble d’acier, puis manœuvrer son char de telle sorte que l’on puisse accrocher le câble.

        Un seul char est resté, un char lourd de la 8ème compagnie. Il était déjà resté là depuis la veille le long du talus mais son équipage ne quitta pas le véhicule. Plutôt mourir que quitter son char, plutôt sauter que devoir abandonner le char à l’ennemi. Et le soir de ce jour-là, les hommes assistent à ce spectacle exaltant, de voir ce char rentrer à sa compagnie sous les cris de joie des camarades. Le leutnant REESE, officier toujours prêt à aider et à payer de sa personne, était parti avec un autre char de la compagnie jusqu’au talus et avait pris les camardes en remorque. Mais le vaillant équipage, qui ne pouvait plus manœuvrer à la suite de trois obus de DEB, reçus à la première attaque, s’était enterré juste à côté du véhicule et organisé pour se défendre. En disposant ses mitrailleuses. L’adversaire avait bien tôt remarqué qu’il y avait encore de la vie dans et coté du monstre d’acier. Les tireurs marocains et l’artillerie rivalisèrent toute la journée et la nuit suivant à qui anéantirait cet équipage. La nuit surtout, la situation de ces hommes héroïques devint presque désespérée, car il était juste près de l’ennemi, réduit à ses seules forces et qu’il lui fallait toujours s’attendre à être pris d’assaut par un détachement de choc des noirs. Leur endurance et leur bravoure furent récompensées. Apres avoir tenu toute la nuit sans vivres et sans eau pour étancher leur soif terrible, ils virent venir le salut le soir suivant, c’est à dire après trente heures de patience héroïque ...

        C’est ainsi que le régiment a décroché dans le calme et la discipline et reçut l’ordre  « retournez dans vos anciens abris ».chacun retrouve son trou par ce qu’il faut s’attendre à un nouveau bombardement par l’adversaire. Mais tous les trous ne peuvent offrir un abri, parce que de nombreux chars sont endommagés et ont été enlevés au régiment pour réparation. Les derniers jours ont couté de nombreuses victimes. Beaucoup peuvent rester à leur unité avec des blessures légères, mais nous encore six tués et 18 blessés à déplorer.

Comme dans l’après-midi le commandant de la brigade est toujours étendu sur le champ de bataille, un char de la 6ème compagnie essaie de rejoindre l’endroit  où l’on croit qu’il est resté. Mais il est impossible d’approcher. En un clin d’œil, ce char a reçu lui aussi quatre obus de canon antichars et il n’échappe à la destruction complète qu’en regagnant rapidement sa position de départ. Mais la blessure du commandant n’est pas si terrible, grâce à dieu, et après être resté longtemps sous le feu (on l’avait même crue mort) il réussit, en fin d’après-midi, à rejoindre seul l’unité, poursuivie par le feu de l’adversaire.

        Il arrive à temps. En haut lieu on décide de reprendre l’attaque en fin d’après-midi ; mais à la suite du rapport commun et de l’exposé des commandants de brigades et de régiments sur la situation réelle dans la position avancée, il est convenu que la troisième attaque n aura lieu et que l’on se contentera de bombarder les positions ennemies.

        Au court des dernières vingt-quatre heures, l’ennemi a pu connaitre exactement les emplacements de nos chars, il fallait donc s’attendre au cours de la nuit prochaine à un bombardement très violent de nos positions par l’artillerie et que l’on ramènerait les troupes encore un peu plus loin vers l’arrière et que l’on déplacerait l’emplacement. C’est ainsi que nous arrivons enfin derrières une grande forêt, près des « cinq Etoile » à une magnifique position de repos sur un pré à côté d’un ruisseau qui murmure doucement. Bien que les trous d’obus larges et profonds nous disent explicitement que l’ennemi a arrosé aussi ce terrain avec l’artillerie lourde, mais nous avons de la chance, cette fois-ci aucun tir ne nous attend ici et dans une tente à côté du char nous passons une nuit très tranquille sur de la paille fraiche.

        Le lendemain matin, tandis que nous remettons très vite en état nos véhicules et que nous complétons nos stocks de munitions et d’articles variés, on apprend vers midi qu’après les dures attaques des deux derniers jours les français ont évacué sans bruit la position de la DYLE au cours de la nuit et qu’ils se replient sur toute la ligne.

        Immédiatement nous recevons l’ordre : « tout le monde en place, nous partons à leur suite » un détachement avancé est constitué, qui est chargé de la poursuite. Cette fois-ci c’est le régiment voisin qui est en tête, et comme la situation pour cette marche est pour l’instant très confuse, le régiment se tient d’abord dans une grande plaine près de RATENTOUT pour attendre les ordres.

        L’adversaire veut dissimuler sa retraite et nous rende la poursuite difficile, il fait donc intervenir ses avions en plus grand nombre. Et c’est ainsi que, n’étant plus en première ligne au combat, mais au contraire au repos et inoccupés, nous assistons à de gigantesques combats aériens et aux magnifiques victoires de notre aviation et de notre DCA sur l’adversaire.

        Les détachements avancés sont déjà partis, lorsque bombardiers et chasseurs ennemis se lancent à l’attaque..... (récit du combat aérien)

        Entre temps arriva le compte rendu du détachement avancé, disant que la poursuite n’allait pas si vite ni si facilement qu’on l’avait pensé. L’ennemi couvrait sa retraite par une résistance acharnée et se défendait d’étape en étape. Comme le soir allait tomber, il fut décidé que nous formions le gros nous ne nous mettrions en route que le lendemain.

        Et donc notre régiment ne se met en route que le lendemain. Matin et il franchit les positions chèrement disputées le long de la voie ferrée. Maintenant, chacun peut se convaincre que les marocains s’étaient extraordinairement retranchés et qu’ils avaient extrêmement bien installé et camouflé leurs canons.

        Maintenant nous voyons la fameuse position de la DYLE ébranlé par nos deux puissantes attaques, puis abandonnées par l’adversaire. Nos pensées allaient aux tués de ces jours-là, dont le sacrifice n’avait pas été vain puisque l’adversaire était maintenant battu, que la route à travers la Belgique était ouverte à l’armée allemande et que nous, le C.A blindé, nous avions ouvert cette brèche avec nos attaques et nos victimes, assurant ainsi la victoire à la marche qui suivit.

        C’est ce qui se passe quand une armée battue, affaiblie par des attaques incessantes quitte ses positions et abandonne soudain ce qui la veille encore était d’une grande importance pour la défense. Nous vîmes au passage des chars français, des pièces et des canons de tous calibres. On voyait bien que notre tir bien ajusté avait là aussi fait des victimes et que de nombreux marocains avaient dû payer de leur vie les attaque des chars.

        En longeant ces positions, nous vîmes aussi clairement que nous ne pourrions franchir qu’en très peu de points la tranchée du chemin de fer et ces passages étaient minés de telle sorte que personne d’entre nous n’en aurait réchappé.

        Nous n’étions donc pas particulièrement fiers en entendant le communiqué de l’OKW de ce jour-là : des unités blindées ont enfoncé la puissante position de la DYLE.

        Ces forces blindées, c’étaient nous, c’est là que nous nous étions battu et chacun de nos hommes se disait : moi aussi j’ai fait mon devoir pour le peuple, la patrie et le Führer .
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Récit de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer face a la 1ère DIM et au 7 rtm Empty
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Récit de Ernest Freiherr Von JUNGENFELD Capitaine de réserve au 35ème régiment de panzer de la 4ème divisions de panzer face a la 1ère DIM et au 7 rtm 601611 beaucoup pour ce récit qui prouve une fois encore que contrairement à la propagande, la campagne de France pour les Allemands ne fut pas une belle partie de plaisir et une "promenade de santé" et où l'on voit bien que nos soldats Français ont combattu courageusement et efficacement !

Sincères amitiés...
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